Le hasard faisant bien les choses, les recherches sur Ancistrodon et autres Hadrodus ont abouti à découvrir que d'autres collecteurs avaient prélevé des dents du Campanien, mais en Charente maritime, plus particulièrement à Talmont-sur-Gironde. Ces exemplaires rejoignent un spécimen décrit plus anciennement, non loin de là, à Arvers (voir plus haut).
Il est évident que la dent n°1 correspond à 100% à la nôtre. Sur le site, c'est le nom Hadrodus splendens qui est retenu.